Philippe, Le Mari Candauliste Et Olga, LÉpouse Hypersexuelle (31) : Hassan SImpose.
Jai détaillé dans le texte précédent (récit n°30) dans quelles circonstances javais rencontré Hassan et comment nous étions devenus immédiatement amants.
Cette rencontre nétait pas de celles que je collectionnais alors avec mes nombreux amants. Cétait autre chose. Cétait un coup de foudre réciproque. Jétais tombée follement amoureuse et, dès cet instant, Hassan me considérait comme sa femme et était bien décidé à occuper toute la place dans ma vie. Ce qui venait darriver était le risque que courent tous les couples candaulistes, à savoir que lépouse tombe amoureuse de lun de ses amants et que cela fasse alors exploser le couple. La candaulisme est un jeu délicieux mais qui consiste à jouer avec le feu. Cest ce qui venait darriver pour mon couple avec Philippe, malgré la force de nos liens que nous pensions indestructibles. Nous avions pris le risque, cette fois cétait arrivé.
Pour linstant jétais devenue pleinement adultère. Pour la première fois depuis longtemps, javais découché sans avoir informé Philippe ni avant, ni après. Je ne me suis dit que Philippe mavait toujours dit que jétais entièrement libre de faire tout ce que je voulais. Jai aussi pensé quil prendrait soin du bébé, cest de cela que jai eu le plus honte.
Philippe et moi avons une définition restrictive de ladultère au sein de notre couple. Il ny a pas adultère pour nous quand je couche avec un ou plusieurs autres hommes, dès lors que nous sommes dans un cadre candauliste, que Philippe est au courant et mieux, quil est présent. Quoiquen pensent beaucoup de gens, Philippe nest pas un mari cocu, mais un mari candauliste.
Javais déjà été dans des situations dadultère, par exemple à Rio (voir récit n°8), ou, plus récemment avec Pierre, le mari de Christine (récit n°15). Dans le cas de Rio, javais informé Philippe après coup et lui avait fait profité ensuite de mes ébats au téléphone. En ce qui concerne Jean, je reconnais que jai mis plusieurs jours à informer Philippe.
Mais, dans un cas comme dans lautre, il ny avait rien de sentimental.
Philippe, après avoir tenté en vain de me joindre sur mon mobile, très inquiet, avait fini par contacter Rachid. Celui-ci avait eu vite fait dêtre informé par Kamel de ce qui sétait passé la veille. Kamel nétait pas très fier de lui. Il mit Rachid en garde. Il ne doutait pas que je métais offerte à Hassan.
Sache que mon frère est, daprès ce que je sais, un amant exceptionnel. Mais cest surtout un homme de principes. Il est rigoriste et intransigeant. Sil la prise, désormais elle est à lui et à personne dautre.
Ce matin-là, je me réveillais dans les bras dHassan. Nous avions fait lamour toute laprès-midi, la soirée et une bonne partie de la nuit.
Jétais tombée follement amoureuse dHassan. Je ne parle pas seulement de ses muscles, de son visage, de ses yeux sombres qui mavaient fascinée. Hassan était un athlète, beau comme un Dieu. Jétais en admiration devant son corps et ses exceptionnelles qualités damant.
Je pense aussi à son tempérament et cest cela qui ma séduite et qui a fait dune rencontre parmi dautres une page importante de ma vie et la seule fois depuis ma rencontre avec Philippe où jai vraiment trahi celui-ci, en tombant amoureuse dun autre, ce qui nétait jamais arrivé précédemment, y compris avec Rachid envers lequel javais une dépendance physique et, sauf au début, pas sentimentale.
La virilité, cest lopposé de la fragilité. Hassan est un homme un peu macho, assez dominant, grande gueule, déterminé. Nos envies et nos désirs se complétaient
Jétais une femme soumise durant lacte, mais Hassan avait besoin de maîtriser la femme quil honorait.
Hassan affirmait sa masculinité. Il savait se faire respecter, il cultivait son corps et sa forme physique, mais aussi sa force de caractère : il avait appris à faire des choix dans sa vie, à affronter ladversité plutôt que léviter, à tirer le positif de ses erreurs, à développer un mental fort et déterminé.
CONVERSATION AVEC PHILIPPE
Je consultais mon portable et je voyais le nombre dappels que Philippe avait passés en vain depuis la veille. Alors quHassan était dans la salle de bains, je me décidais à lappeler. Il comprit tout de suite à la façon dont je madressais à lui et à mon ton que quelque chose de grave venait de se passer :
Bonjour Philippe. Comment va le bébé ?
Bonjour chérie. Enfin, jétais mort dinquiétude ! Lucie a beaucoup pleuré, je me suis débrouillé, comme toujours. Elle préfère ton lait maternel au lait en poudre que je lui ai donné. A aucun moment tu nas pensé à notre fille et à moi. Tu es un monstre, Olga.
Tu arrêtes ça tout de suite, Philippe. Tu mas toujours dit que jétais totalement libre, non ?
Cest vrai ! Rachid ma dit que tu es avec Hassan, le frère de Kamel.
Oui, je suis avec lui depuis hier après-midi.
Je suppose quil ta donné beaucoup de plaisir.
Philippe, nous avons fait lamour pendant des heures et des heures. Tu mentends, nous avons fait lamour, nous navons pas seulement baisé. Tu me comprends ?
Tu es amoureuse de lui ?
Oui, je suis amoureuse à la folie. Cest la première fois que jai tout : le plaisir et lamour. Avec un même homme. Ça ne métait jamais arrivé auparavant.
Tu ne maimes plus, cest ça ? Tu veux me quitter ?
Ecoute, on ne va pas parler de ça au téléphone. Je vais venir chez nous avec Hassan.
Et Rachid ?
Cest fini avec lui. Ne tinquiète pas, Hassan va soccuper de lui. Pour le reste, nous en parlerons de vive voix.
Olga, je suis prêt à tout accepter. Mais je ten supplie mon amour, ne me quitte pas, ne me chasse pas de ta vie.
Ne tinquiète pas, je ne suis pas un monstre. Tu es le vrai père de mon bébé et tu es mon compagnon, je tiens à toi. Tu es à moi, bébé. Je tembrasse.
A ce moment-là, Hassan sortit de la salle de bains.
Tu téléphonais à Philippe, nest-ce pas ?
Cest normal, il sinquiétait et je voulais savoir comment ça sétait passé avec le bébé.
Jaurais préféré que tu lui parles en ma présence. Jai entendu tes dernières paroles. Je te le répète, Olga, je ne partage pas. Cest fini avec Rachid, mais cest aussi fini avec lui. Tu es à moi et à personne dautre, désormais. Cest compris ?
Hassan, je taime. Mais tu dois comprendre ce que Philippe est pour moi.
Hassan avait pris en mains mes poignets et les serrait avec force. Il était très en colère. Ses yeux lançaient des braises. Je sentais quil faisait des efforts pour se maîtriser. Je comprenais quil était partagé entre lenvie de me battre et le désir quil avait pour moi. Il me dira plus tard que ce quil avait accepté de ma part, il ne lavait et ne laurait jamais accepté dune autre. Je lavais, ma-t-il dit, « ensorcelé ».
Il se calma, membrassa puis me dit, dun ton qui ne souffrait pas la discussion :
Femme, vas préparer le petit déjeuner
Je navais pas lhabitude dêtre commandée, mais plutôt dêtre servie. Pourtant jobtempérais, soumise à la volonté sans appel de ce mâle dominant.
Jessayais, en choisissant mes mots, de plaider la cause de Philippe, expliquant à Hassan limmensité de son amour, tout ce quil avait fait pour moi, jusquà reconnaître et élever un conçu par un autre homme.
Cest bien le moins quil devait faire, cest quand même lui qui ta livrée à Rachid et qui a accepté, pire qui a poussé à ce que celui-ci te féconde. Excuse-moi, mais je narrive pas à accepter quun homme puisse pousser sa femme dans les bras dun autre et en plus y trouver du plaisir. Je te promets dêtre gentil et patient avec lui, mais que les choses soient claires : il est hors de question quil nous mate et encore plus quil te touche ou que tu le touches. Cest compris, Olga ?
Tu es cruel, mais je ferai ce sacrifice, alors que jaime Philippe autant que je taime. Il fait partie de ma vie, ne léloigne pas de moi, je ten supplie !
RACHID HORS JEU
Sur ces paroles, il y eut un coup de sonnette.
Ah Rachid, tu tombes bien ! On va pouvoir mettre les choses au point. Rentre ! Et toi, Olga, mets une robe de chambre. Je ne veux plus quun autre homme te voit nue !
Mais chérie, sil y a bien quelquun qui connait mon corps, cest Rachid.
Justement ! Fais ce que je te dis, femme !
Je mexécutais, comprenant que je devais prendre lhabitude dobéir à cet homme.
Bonjour Olga. Si jai bien compris, tu viens daffubler Philippe de sa plus belle paire de cornes. Il est malheureux comme une pierre. Quant à toi, dit-il à Hassan, bonne chance avec cette pute, car il ny a que le train qui ne lui soit pas passé dessus !
Hassan réagit au quart de tour, prit Rachid par le blouson, le souleva du sol et commença à le secouer, menaçant de lui démolir le portrait. Il le lâcha et Rachid tomba au sol
Tes malade !
Ecoute-moi bien, petite frappe. Cest un aperçu de ce qui tattend parce que tu viens de manquer de respect à ma femme. Et ça vaut aussi pour tout le mal que tu lui as fait. Si je ne me retenais pas, je te massacrerai. Et ce nest rien à côté de ce que je te réserve si jamais je te vois encore essayer de lapprocher. Tu sors de sa vie, cest compris ?
Et oh du calme ! Tu la veux, je te la laisse. De toute façon, javais fait le tour, je commençais à mennuyer avec elle. Moi je nai rien demandé, cest son mari qui est venu me chercher.
Ne tinquiète pas, il paiera ses fautes aussi. Une dernière chose : tu préviens tous ceux qui lui ont fait du mal que linterdiction vaut aussi pour eux, à commencer par cette avocate, Marie C. Je crois que tu la connais bien. Dis-lui que je ne plaisante pas.
Rachid sen alla sans demander son reste, sans un regard pour moi, qui tournait ainsi brutalement une page de près de deux ans, où javais connus les plus forts moments de plaisir, mais aussi tous les excès.
Je me rendais compte que jallais changer complétement de vie. Jétais débarrassée de Rachid, mais quallait devenir Philippe ? Je ne pouvais me résigner à le sacrifier aux exigences dHassan. Je me demandais si, du fait de mon hypersexualité, si jétais capable dêtre fidèle et de me contenter dun seul homme, fut-il un amant aussi performant quHassan ?
Hassan appela Kamel pour linformer quil pourrait revenir à lappartement et quil allait sinstaller chez nous.
LA METAMORPHOSE DOLGA
Javais remis mes vêtements de la veille.
Ah non, tu ne sors pas comme ça ! Ce sont des vêtements de putain ! Chez nous, je veux bien que tu sois sexy, et même à poil, mais seulement pour moi et pas offerte à la concupiscence des autres ! Je vais te chercher des vêtements décents. Tu es ma femme désormais.
Jétais estomaquée, mais je ne le contredisais pas.
Il revint peu après, avec une longue tenue et un voile.
Tu es fou ? Je ne vais pas mettre ça ! Je ne suis pas musulmane !
Pas encore, mais tu es déjà ma femme. Tu dois doit couvrir tout le corps à lexception des mains et du visage. Le voile ne doit pas laisser dépasser la moindre partie de la chevelure. Tu mas promis obéissance, femme ! Désormais tu sortiras ainsi. Je ne veux plus que ma femme soit un objet de désir pour les autres hommes. Seulement pour moi.
Je me soumettais. Après tout si cest ce quil voulait, cétait aussi un moyen de ne pas susciter la tentation.
Il membrassa tendrement.
Parfait, tu sais que même ainsi, tu me fais bander, Olga. Dès que nous serons chez toi, je te conduirai dans notre chambre et je thonorerai.
Notre descente fit sensation. Cétait une autre femme qui quittait lappartement de Kamel, rien à voir avec la scandaleuse, la putain qui était arrivée la veille sous les injures et les malédictions. Jétais respectée, jétais la femme dHassan.
Philippe eut un choc quand il nous vit arriver. En plus, je refusais tout baiser, lui tendant la main.
Mais Olga, cest quoi cette tenue ? Tu tes convertie ?
Pas encore, mais cest la tenue de ma femme quand elle sort. Bonjour je suis Hassan, le nouvel homme dOlga.
Philippe, son mari.
Pour le moment.
Cest à Olga den décider.
Elle a choisi mais je ne veux rien précipiter. Cest elle qui te lannoncera.
Nous sommes daccord là-dessus, jai toujours dit quOlga était entièrement libre, y compris si elle choisit la servitude.
Hassan fit alors tomber mon voile, me prit dans ses bras et membrassa longuement, sans prêter plus dattention à Philippe.
Philippe, notre chambre est-elle prête ?
Oui, elle est prête.
Jy vais avec ma femme. Je ne lui ai pas encore fait lamour depuis ce matin. Jai bien lintention de la féconder dès que possible. Elle est faite pour avoir des s.
Cest vrai que la maternité la rend encore plus belle.
CANDAULISME INTERDIT
Hassan me prit par la main et nous nous dirigions vers la chambre conjugale, où javais si souvent été prise par Rachid. Philippe voulut nous suivre.
Que les choses soient claires, Philippe. Pas question que tu joues les spectateurs. Tu nous laisses seuls avec ma femme.
Je voyais Philippe au bord des larmes, mais javais trop envie de moffrir à Hassan, en particulier dans mon lit.
Une fois dans la chambre, je ne pense plus à la tristesse de Philippe.
Hassan soude ses lèvres aux miennes. Il fait tomber ma tunique, sous laquelle jétais nue.
Je descends ma main contre son torse, vers sa hanche, jarrive au contact de la verge tendue, je caresse la peau douce et chaude, remonte sur le champignon violet gorgé de sang. La caresse de ma main s'affermit sur la verge, je tends les lèvres, le baiser reprend, il fouille ma bouche de sa langue tandis que je le branle doucement. Les mains dHassan descendent sur mes reins et se posent sur mes fesses...
La glace de la chambre renvoie l'image de notre couple adultère. Je pense à Philippe, jaimerais tant quil soit dans son fauteuil, la queue sortie, quil nous mate et nous encourage.
Tu me plais; je te veux...je veux tout de toi.
Il se penche et d'un geste, ouvre le lit. Il sait quil va loccuper désormais. Je my allonge, contemple mon nouveau mâle, mon homme. Je suis offerte et impudique. Hassan se couche à côté de moi et me caresse, du visage jusqu'aux cuisses, s'attardant sur les seins, la cuvette du nombril, descendant sur le mont de Vénus, insinuant un doigt dans mon ouverture détrempée, me faisant très vite gémir.
Hassan me fit alors un cunnilingus artistique.
Je veux ta chatte maintenant ! Je veux te lécher ! Dis-moi que ten as envie !
Oui, oui
Et tu veux que je le fasse ? Dis-le-moi
Oui, oui, je ten prie, fais-le
Plus fort, crie-le haut et fort, lâche-toi !
Il savait que Philippe, sans faire de bruit, était derrière la porte.
Hassan me poussait à être un animal guidé par ses pulsions les plus primitives. Je le suppliais en criant :
Oui, oui, lèche-moi le sexe, je ten prie !
Hassan ny tint plus. Il plongea littéralement sur mon bas-ventre, colla sa bouche sur mon sexe, sattaqua sérieusement au sensible bourgeon qui se gonflait à la commissure de la féminité éclose. Jenfonçais sauvagement mes ongles dans les épaules de mon partenaire qui commençait aussi à gémir. Il collait sa bouche sur le clitoris quil aspirait en le titillant de la langue, un clitoris dune longueur et grosseur surprenantes.
Il le délaissa assez vite, préférant glisser sa langue dans le sillon humide, aussi loin que possible, allant et venant, sacharnant impitoyablement. Je criais.
Je nexistais plus que par cette chose vivante qui se frayait partout un chemin, explorait, tournoyait et vrillait, me sondant à men arracher lâme. Je me laissais emporter, comme aspirée par une tornade dévastatrice qui bouleversait mes sens comme jamais.
Un instant, jeus la force de me redresser, pour voir. Il ny avait rien de plus beau que cet homme viril, étendu entre mes jambes, fesses levées, la tête enfoncée dans la fourche de mes cuisses, en train dexplorer amoureusement mon sexe comme personne ne lavait fait, avec un tel appétit quil semblait vouloir me dévorer vivante.
Avec un râle dabandon, je me laissais retomber sur le lit. Tétanisée par les brûlantes crispations qui incendiaient mon bas-ventre, ma croupe accentuait les profonds mouvements de houle qui lagitaient. Je perdais le contrôle, criant, suppliant, divaguant, tétanisée par un tel foisonnement de sensations si délicieuses, si intenses, quelles en devenaient presque insoutenables. Impitoyable, Hassan accéléra la pression de sa bouche et la vibration de sa langue. Il empoigna à pleines mains mes fesses, y enfonça ses doigts, plaquant davantage le bas-ventre contre sa bouche vorace. Traits tendus, lèvres entrouvertes sur une plainte autant sensuelle quine, je finis par me laisser aller. Mes doigts se crispaient dans la chevelure et jaccompagnais les mouvements de la tête pendant que ses hanches ondulaient.
Je fus comme frappée par mille flèches brûlantes qui semblèrent me transpercer, et ce fut enfin lexplosion fulgurante, un orgasme fabuleux, extraordinairement puissant qui mébranla toute entière. Je fus incapable de contenir les spasmes qui partaient de mon bas-ventre, et continuais de me vider sur la bouche gourmande qui, ayant perçue les contractions annonciatrices de lorgasme, avait redoublé dattention pour laper jusquà la dernière goutte.
Avec des gémissements de bonheur, je maccrochais de plus belle à Hassan en le serrant contre mon ventre, comme si je voulais le garder enfoncer au plus intime de mon être pour toujours, bien au-delà des derniers sursauts qui me faisaient encore trembler. Eperdue de reconnaissance, je lui enfonçais dans la bouche une langue frétillante, excitée de retrouver sur ses lèvres la saveur de sa propre liqueur intime.
Tout en lembrassant, je le caressais par-dessus le jean, pressant mes doigts sur la virilité dressée, le torturant sans pitié. Il ny tint plus, se déshabillant fébrilement. Je memparais de sa verge que je masturbais. Il membrassa avec une telle sauvagerie quil me mordit. Les yeux fous, suffocante, je me redressais, lui offrant mes seins qui se dressaient comme des dards insolents. Hassan les prit à pleines mains, surpris encore par leur douceur, ravi de sentir les bouts réagir à ses caresses.
Penchée sur son bas-ventre, je leffleurai de mes lèvres, glissant la pointe de sa langue sur ses poils, à quelques millimètres du pénis. Il se cambra violemment, le sexe durci à lui faire mal. Je ne répondis pas à ses attentes, jouant avec ses nerfs. Il réussit à se contorsionner, collant son sexe contre mon visage, me suppliant de passer aux choses sérieuses.
Dun coup, je le pris à pleine bouche, lavalant presque entièrement dune aspiration goulue, si voracement quil hoqueta de plaisir et de soulagement. Je le ressortis de ma bouche pour le happer encore plus profondément, allant et venant à une cadence accélérée, laffolant de temps à autre dhabiles glissades de la langue pour faciliter la prochaine fellation. Hassan grognait de plaisir, se tordit en tous sens, pris de tremblements convulsifs à lapproche dune éjaculation imminente.
Je sentais quil était au bord de lorgasme et jarrêtais à temps, bien décidée à faire durer le plaisir, son plaisir et le mien. Je voulais être prise.
Je remontais sur lui pour me déplacer au-dessus, me frottant fébrilement contre son sexe. Il ne fallut aucun effort pour quil senfonce en moi dun puissant coup de reins.
Je hurlais, la tête penchée en arrière. Il me saisit les fesses pour mimposer son rythme, me percutant de fougueux déhanchements qui saccélérèrent.
Je me soulevais dun coup de reins, retombais, mempalant à fond, lobligeant à modérer ses ardeurs pour lui donner sa cadence, plus lente et appuyée. Vaincu, il se laissa guider.
Joscillais sur lui, et chaque ondulation nous arrachait un long soupir animal.
Bientôt, mes mouvements se firent plus impétueux, je me cambrais avec un frémissement incontrôlé, tendue et crispée, marmonnant des « oh oui ! » dans un râle extasié.
Le mâle reprit alors le contrôle du coït. Soudés lun à lautre, nous copulions rageusement dans un rythme désordonné, emportés par la même frénésie sexuelle. Nous mêlions nos corps, nos cris, nos gémissements. Nos corps semboitaient lun dans lautre, se perdant dans toutes sortes de positions incongrues, avec un plaisir sans cesse renouvelé.
Son majeur agace mon clitoris puis s'engouffre dans le vagin jusqu'à ce que je crie.
Tu veux ?
Je ten supplie, oui..oui je me donne, je suis ta femme, je suis à toi, prends-moi !..
Je suis ton mari, Olga. Je veux te faire un .
Oui, mon amour, fais-moi un .
Tu seras mon épouse, devant Dieu et devant les hommes.
Il se hisse sur moi et me pénètre à nouveau. Il choisit cette fois la position du missionnaire
Oui, Hassan. Mets-la-moi bien au fond, oui, comme ça ! Oh que cest bon !
Tu divorceras ?
Oui, Hassan, je divorcerai, je ferai tout ce que tu veux. Plus fort, plus vite ! Oh oui, encoreeeeee
Jenchainais les orgasmes, la sueur coulait de mon front, javais limpression que mon cur allait exploser dans ma poitrine. Jamais je ne métais autant donnée. Rachid membrassait à me faire perdre haleine, seul moyen d mes cris de plaisir, mes gémissements étant devenus des cris, puis des hurlements de plaisirs. Je ne pensais plus que, de lautre côté de la porte, Philippe entendait tout et quil devait être partagé entre lexcitation et la souffrance car il semblait bien cette fois-ci quil allait me perdre.
Ce fut une délivrance quand Hassan se décida enfin à jouir longuement dans mon vagin.
Son sexe toujours aussi roide se loge ensuite dans le sillon fessier et il commence un lent mouvement de va et vient auquel je ne tarde pas à répondre en me cambrant. Il veut menculer, ce quil na pas encore fait jusquà présent.
Ses doigts viennent explorer la raie profonde, son majeur trouve l'anneau des reins et s'y enfonce. Je gémis doucement, mais il n'en a cure et son index vient en renfort après qu'il ait humecté ses doigts de salive...
Je veux ton cul...
Oui, encules-moi mon amour, mais vas-y doucement, tu es si gros
Allons, tu es habituée, je le sais
Il retire ses doigts pour guider son gland, il se hisse légèrement sur les genoux. Je sens la poussée contre mon anus...puis l'envahissement inexorable...la sensation d'être écartelée, à nouveau la morsure sur ma nuque ...
Lénorme matraque progresse dans mon rectum... je sens que ça se dilate.
Tu es si bonne à enculer, chérie. Cest incroyable, je suis presquaussi à laise que dans ton vagin. Cambres-toi davantage, que je puisse entrer à fond. Je vais te casser le cul !
Je gémis de plus en plus autant à cause des allées et venues du membre dans mon fondement que des sensations que lui procurent les deux mains qui me pétrissent.
Encouragé par mes plaintes langoureuses, Hassan se retire jusquau gland pour s'enfoncer, ses bourses venant frapper lentrecuisse, ses mains quittent les fesses devenues écarlates pour passer sous le buste et se saisir des seins qu'elles pétrissent à leur tour, les doigts pincent les mamelons, les étirent.
Je suis au bord de la pâmoison, je devine aux contractions de la verge que lui aussi est au bord de la jouissance, mais il se maîtrise et ce n'est qu'après m'avoir entendue hurler qu'il se déverse enfin. Je sens la semence chaude envahir mon fondement.
Hassan membrassa ensuite tendrement, remonta le drap sur moi et me dit, après avoir ouvert la porte :
Appelle Philippe !
Philippe, tu peux venir, sil te plait.
Philippe entra timidement dans la chambre.
Nous nous excusons auprès de toi, mais ça sera ainsi le temps que nous cohabitions. Tu le sais sans doute, mais Olga est très démonstrative quand elle est bien baisée. Là nous avons baisé, mais nous avons surtout fait lamour.
Joffrais mes lèvres à Hassan et, sans gêne, nous nous embrassions amoureusement.
Jétais couverte par le drap jusquau cou, alors que Philippe connaissait si bien mon corps. Mais Hassan tenait à ce que lui seul puisse profiter de ma nudité. Hassan, par contre, entièrement nu, nétait pas gêné par la présence du mari déchu. Il voulait que celui-ci connaisse ses atouts.
Ça timpressionne, nest-ce pas ? La nature ne donne pas à chacun les mêmes atouts. Je sais que tu es bisexuel et que Rachid tenculait régulièrement. Ce nest pas trop mon truc, tu sais, les pédés, pas plus que les hommes qui ont du plaisir à offrir leurs femmes à dautres.
Philippe devint pâle mais ne répondit pas à linsulte.
En attendant, amène le bébé pour quOlga lui donne le sein. Ensuite, tu nous apporteras un plateau repas et une bouteille de champagne, nous ne quittons pas le lit. Olga est insatiable et moi aussi.
Dune autre manière que Rachid, Hassan saffirmait demblée face à Philippe. Celui-ci faisait le dos rond, se disant que la patience lui permettrait peut-être de surmonter cette épreuve.
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!